lundi 3 septembre 2012

ROCK KNIGHTS FESTIVAL 2012 @ La Couvertoirade (Larzac) - 24•08•2012 [live-report]




L’édition 2012 du Rock Knights Festival a eu lieu le week end du 24 au 26 août sur le Domaine de Gaillac (Larzac). Donc après un peu plus de deux heures de route depuis Clermont-Ferrand, je me retrouve dans un immense domaine à l'odeur « chevaline » (ben oui, il y a des chevaux !).
Les premiers spectateurs s’activent aux montages des tentes (ou à l’apéro pour d’autres). Mon accréditation en poche, j’entre dans l’arène où est installée la scène. Premier constat : il y a de la place… et beaucoup de poussière. Comme il fait chaud, direction la buvette pour une séance de réhydratation. Je croise alors Sallie, épouse et manager de Pat McManus.

Rendez-vous est pris pour une rencontre backstage plus tard dans la soirée.


THE PAT McMANUS BAND



19h, début du set du premier groupe prévu ce vendredi, le PAT McMANUS BAND.
Pendant 1h30, le trio irlandais va nous gratifier d’un show électrique, rock, hard, blues. Leur joie d’être sur scène est criante, les titres s’enchaînent, alternant ballades, hommages (Rory Gallagher, Gary Moore), reprises de MAMA'S BOYS (ah, Runaway Dreams !!). Pat McManus est un virtuose de la guitare, The Professor’s back !


















21h, arrive les membres de SAGA, le très connu groupe canadien de rock progressif. Beaucoup des spectateurs présents ce soir là étaient venus pour eux.
Durant 1h30 ils vont jouer des titres couvrants une grande partie de leur discographie, mixant guitares nerveuses et claviers planants.


SAGA












A la fin du show de SAGA, comme promis, Sallie McManus, accompagnée du batteur Paul Faloon, vient me chercher pour un accès backstage et une rencontre avec Pat McManus.
Comme à chaque fois, c'est avec une grande gentillesse que le trio m’accueille et pose pour quelques photos. Je ne peux m’attarder plus, la suite de la soirée se précise.

23h, JIM JONES REVUE débarque sur scène.
Probablement élevés au son de Chuck Berry et Jerry Lee Lewis, ce groupe originaire de Londres va déchaîner les foules avec son hard rock aux influences rockabilly.
La poussière vole, il fait soif !



 JIM JONES REVUE










Se termine alors cette première journée. Que dire de plus ? Un festival à échelle humaine (mais probablement et malheureusement pas suffisamment de monde, et c'est bien dommage), une organisation sans reproche et des organisateurs sympathiques et efficaces.
Croisons les doigts pour l’avenir.